S’il y a bien une chose que je déteste dans la vie, c’est le repassage ! Détester est un mot faible, je dirai donc : j’abhorre le repassage. Malheureusement, je ne peux pas ignorer mon panier en osier rempli de linge propre bien longtemps : en effet, quand il est trop lourd, il se renverse. Mon chat (ma petite nounouille, j’écrirai sur elle plus tard) en profite alors pour dormir sur le linge propre, si possible pendant mes heures de travail, pour ne pas être découverte et expulsée manu-militari.
Donc, me voilà résignée, je dois repasser. Pour rendre la tache plus agréable, je rivalise de créativité. Ma dernière trouvaille : écouter un CD de Jason Mraz pendant cette corvée. Pas n’importe lequel, celui avec des versions un peu acoustiques de son dernier album. Dès les premières notes de I ‘m yours, mon esprit divague. Je m’imagine sur une plage de Californie, mes pieds nus sur le sable bien chaud, le soleil caresse ma peau, je suis zen. Ma planche à repasser se transforme alors en planche de surf, et le bruit léger de la vapeur de mon fer ressemble à celui des vagues. Je suis de plus en plus cool, mon fer glisse gentiment sur le linge, j’enchaîne les T-shirts et les polos, A beautiful mess me détend tellement que j’en ferme les yeux. Pschiiit, pschittt, … aïe ! Je viens de me bruler le poignet ! Le retour à la réalité est parfois cruel. Le CD s’arrête, le silence envahit la pièce. Mon ami Jason est parti, mes rêves aussi. Je cours rejoindre mon amie la biafine.
Donc, me voilà résignée, je dois repasser. Pour rendre la tache plus agréable, je rivalise de créativité. Ma dernière trouvaille : écouter un CD de Jason Mraz pendant cette corvée. Pas n’importe lequel, celui avec des versions un peu acoustiques de son dernier album. Dès les premières notes de I ‘m yours, mon esprit divague. Je m’imagine sur une plage de Californie, mes pieds nus sur le sable bien chaud, le soleil caresse ma peau, je suis zen. Ma planche à repasser se transforme alors en planche de surf, et le bruit léger de la vapeur de mon fer ressemble à celui des vagues. Je suis de plus en plus cool, mon fer glisse gentiment sur le linge, j’enchaîne les T-shirts et les polos, A beautiful mess me détend tellement que j’en ferme les yeux. Pschiiit, pschittt, … aïe ! Je viens de me bruler le poignet ! Le retour à la réalité est parfois cruel. Le CD s’arrête, le silence envahit la pièce. Mon ami Jason est parti, mes rêves aussi. Je cours rejoindre mon amie la biafine.
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